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Bébêtes !

J’aime assez dessiner des bestioles. Sans être très douée dans ce domaine, je m’amuse beaucoup à partir de ce qui existe, pour faire  des variantes, des plus modestes, aux plus bizarres.

Le cadre de mon univers et de mon roman, Les Chants de Loss, me permets de bien me faire plaisir, et donc, de temps en temps, je dessine une bestiole, en voici donc quelques-unes pour Loss.

draekya3

Le draekya, THE prédateur terrestre de Loss. Les femelles adultes pèsent trois tonnes. On dit que seules des balles les arrêtent, car ils n’ont peur de rien, et que leur ruse dépasse celle des hommes.

 

ghia-tonnerre

Le Ghia-tonnerre, gros comme un petit bus, et qui porte ce nom parce qu’il envoie des décharges de bio-éléctricité qui s’accumule dans son bouclier céphalique.

 

sika

La sika (ou le sika, je ne sais pas encore), ici, c’est un rough, prototype des antilopes et cervidés du monde de Loss. Leur armure dorsale avec des piquants est un avantage donné par leurs symbiotes.

 

tosh1

 

Le tosh, le rat de Loss, qui peut faire 4 à 8 kilos. Voire plus. Oui, il est moche, on en voudrait pas comme peluche… ou alors on a des drôles de goûts.

(Et si vous trouvez un point commun avec une bestiole du film « les gardiens de la galaxie », c’est normal !)

griffon

Le griffon, le prédateur commun de loss, qui tient la place des loups dans cet écosystème. Je me suis pas encore satisfaite de son look, mais il est cependant en effet décrit assez clairement comme une sorte de vélociraptor à tête de rapace (ou comme un oviraptor, donc)

 

symbiote1

Le symbiote, un peu difficile d’expliquer cela en quelques lignes, mais c’est un animal qui fait vie en symbiose avec tous les êtres vivants de loss.

Et oui, je le répète, c’est une grande chance, et un pur bonheur que de pouvoir illustrer moi-même mon propre univers, même si d’autres le feraient sûrement bien mieux que moi !