Psychee's Gorean Archives
Ressources

Les animaux d’élevage et de compagnie

Read Offline:

Quoi, vous pensiez que j’allais classer les animaux par taxons et classes ? Ou encore, commencer par les prédateurs ? Heu, eh bien, je suis désolée. Mais je trouvais que commencer par les animaux que les goréens élèvent était le plus intéressant. Mais, promis, il y aura bien des articles sur les prédateurs, les animaux sauvages et sur la flore, bien sûr ! Les Archives Goréennes tentent d’être une forme d’encyclopédie, donc, oui, je vais essayer de couvrir tout le sujet.

PS : non, le giani ne figure pas sur cette liste. Car ce petit félin goréen est rarement apprivoisé et n’a jamais été domestiqué, sans parler du fait que l’espèce ne se trouve que dans les jungles de Schendi.

1- définitions

Chaque animal est décrit par un texte, éventuellement une citation, et plusieurs caractéristiques, pour se faire une meilleure idée de l’animal :

  • Rareté: permets de savoir si l’animal est commun ou pas.
  • Répartition: sa localisation sur la géographie de Gor (quand je peux le savoir)
  • Régime alimentaire: qu’est-ce que l’animal mange.
  • Taille: en mètres et centimètres, parce que je suis européenne.
  • Poids: en tonnes et kilos, parce que je suis européenne.
  • Durée de vie : quand il est possible de la connaitre.

2- Les animaux d’élevage

Abeille

  • Rareté: très commun
  • Répartition: tout Gor
  • Régime alimentaire: mellivore
  • Taille: 1 cm
  • Poids: –
  • Durée de vie : 30-60 jours

L’abeille de Gor, c’est notre abeille domestique, avec quelques sous-espèces. Même si les romans ne parlent de ruches et d’élevage qu’au Torvaldsland, comme le miel est cité comme aliment commun et prisé, l’apiculture est donc répandue partout. Et en plus, un fermier aura une bonne idée d’avoir des ruches chez lui, pour assurer la pollinisation de ses arbres fruitiers, par exemple.

Anguille

  • Rareté: très commun
  • Répartition: tous les plans d’eau douce ou saumâtre
  • Régime alimentaire: carnivore & charognard
  • Taille: 80 cm à 1m20 de long
  • Poids: 4 à 5 kg
  • Durée de vie : 15 ans

On trouve des anguilles un peu partout, des marais aux rivières en passant par les lacs et les lagunes. Et c’est un poisson gras et délicieux, très facile à élever et nourrir. Il est rustique, se reproduit vite, grandit vite, et sa chaire se conserve aisément en saumure ou salée et séchée. Hm, ai-je besoin de dire que tomber dans un bassin d’élevages d’anguilles est une forme de mort horrible ?

Bosk

  • Rareté: commun
  • Répartition: partout dans les fermes d’élevage (voir texte)
  • Régime alimentaire: herbivore
  • Taille: 1m30 au garrot
  • Poids: 700 kg à 1,2 tonnes
  • Durée de vie : 20 ans

Le bosk n’est pas une vache, mais un buffle, ou un bison, cela dépend des sous-espèces. La grande différence ? Les vaches sont sélectionnées pour leur docilité depuis des millénaires, alors que le buffle ou le bison sont des animaux assez ombrageux et puissants pour faire hésiter n’importe que prédateur sur Terre, qui préfère vraiment aller chasser quelque chose de moins dangereux. Et les cornes des bosks, pointées vers l’avant, sont encore plus longues que celles du buffle.

Le bosk le plus connu est le bosk laitier, c’est le plus domestiqué, et il est exploité partout, pour le lait et la viande. Mais il y a au moins une quinzaine de sous-espèces, dont le bosk rouge, animal emblématique des Peuples des Chariots. Même le bosk le plus paisible est réputé dangereux ; on ne laisse pas les jeunes enfants les traire, si on tient à leur vie. Les troupeaux de bosks sauvages sont surtout répandus dans les Plaines de Turia, là où vivent les Peuples des Chariots.

Carpe commune

  • Rareté: commun
  • Répartition: delta du Vosk, plaines du Vosk
  • Régime alimentaire: omnivore
  • Taille: 30 à 80 cm
  • Poids: 3 à 15 kg
  • Durée de vie : 20 ans

La carpe est un poisson d’étangs, lacs et bras stagnants de rivières, qui se nourrit de végétaux aquatiques ou tombés dans l’eau, de mollusques et d’insecte. Mais en fait, tant que c’est assez petit pour elle, elle mange de tout, ce qui la rends très facile à élever, car elle mange même les déchets de légumes, le pain ou le grain.

Poisson rustique à la chair grasse, mais qui se conserve difficilement, il est fréquent que la carpe soit transportée vivante en tonneaux, et tuée sur place dans les auberges qui les servent au menu. Il n’est pas rare qu’une villa riche ait son bassin de carpes d’élevage, pour ses banquets.

Frevet

  • Rareté: très commun
  • Répartition: des plaines du Vosk à la Grande Forêt du Nord.
  • Régime alimentaire: insectivore
  • Taille: 10 à 30 cm
  • Poids: 80 à 250 gr
  • Durée de vie : 5 ans

Le frevet est une sorte de belette au museau pointu, et qui chasse les insectes. L’animal est très apprécié des goréens, parce qu’il est très efficace pour se débarrasser des nuisibles, mais aussi parce qu’il est plutôt social, en plus d’être aisé à nourrir. C’est donc un animal de compagnie prisé, et assez répandu dans les campagnes. Les frevets sont en permanence en mouvement ; soit ils jouent, soit ils chassent, et ils doivent manger le tiers de leur poids.

Gant

  • Rareté: très commun
  • Répartition: du Torvaldsland au delta du Vosk, ainsi que les îles des Pani
  • Régime alimentaire: herbivore
  • Taille: 50 à 90 cm de haut
  • Poids: 6 à 10 kg
  • Durée de vie : 20 ans

Le gant est une oie, et comme les oies, l’espèce sauvage est migratrice et parcours des milliers de kilomètres du nord au sud chaque année. Les torvis attendent ces migrations pour les chasser et récolter leurs œufs et leur duvet épais et chaud, qui permets de faire des vestes rembourrées et des couettes bien utiles les nuits d’hiver.

Le gant est aussi domestiqué, et si l’animal a besoin d’un plan d’eau pour vivre confortablement, c’est un animal de ferme commun, facile à élever (tant qu’on n’oublie pas de couper les plumes de ses ailes), facile à apprivoiser, et apprécié pour sa chair et ses œufs.

Hurt

  • Rareté: commun
  • Répartition: Torvaldsland, Grande Forêt du Nord, nord des Plaines du Vosk
  • Régime alimentaire: herbivore
  • Taille: 1,6 mètres de haut
  • Poids: 35-50 kg
  • Durée de vie : 10 ans

Le hurt ressemble à un petit kangourou laineux. C’est un marsupial, il est bipède, il se déplace en bondissant –et il se déplace plus vite qu’un cheval ou un kaiila, il a une poche marsupiale et lui aussi est végétarien. Et il doit avoir un mauvais caractère, car il est plus prudent de garder les hurts dans des enclos, et faire surveiller ces animaux par des sleens.

Je ne suis pas certaine que sa toison soit toujours noire, et je pense que l’animal a été croisé pour avoir des laines claires, voire blanches, c’est-à-dire plus utiles pour le tissage et la teinture. L’animal est surtout connu dans les cités du nord de Gor, et il apprécie plutôt les climats froids. A priori, sa viande ne doit pas être très fameuse.

Kaiila du désert

  • Rareté: peu commun
  • Répartition: désert du Tahari et Plaines de Turia
  • Régime alimentaire: omnivore
  • Taille: 1,5 à 1,8 m
  • Poids: 400 à 550 kg
  • Durée de vie : 25 ans

Pour commencer, il existe deux grandes sous-espèces de kaiila, très différentes, alors nous n’allons ici parler que de la version domestique, et je risque de décevoir des gens au sujet de ce qu’ils croient savoir de cet animal. Le kaiila carnivore des Barrens, sera décrit dans les prédateurs.

Donc, le kaiila domestique, c’est le kaiila du désert, employé comme monture dans le Tahari. C’est un animal agile et puissant qui ressemble à un cheval au pelage fauve, voire noir, mais aux pattes sans sabots, avec des coussinets, comme les chameaux, et dotés de griffes. Il a aussi des yeux à trois paupières, dont une translucide adaptée aux tempêtes de sable. Sa tête est plus massive que celle d’un cheval, avec une bouche plus large, munie d’une mâchoire dotée de plusieurs rangées de dents, dont des canines.

Le kaiila du désert est omnivore, et ne chasse que s’il n’a pas trouvé fruits, feuilles et herbes à brouter, ou si une bonne occasion se présente. Le kaiila est non seulement rapide, mais très agile, il peut courir sur du sable ou des rochers. Même bien dressé, le kaiila reste ombrageux, dangereux et rusé. Il faut vraiment bien connaitre ces animaux pour les monter, et toujours rester prudent.

Il est réputé qu’un kaiila n’accepte qu’un seul cavalier, mais il semble que ce soit plutôt une réputation qu’une réalité. Sans que je puisse en être certaine, les performances et la vitesse d’un kaiila semblent assez similaires à celle d’un cheval terrien.

Sleen

  • Rareté: très commun
  • Répartition: tout Gor, excepté les jungles tropicales
  • Régime alimentaire: carnivore
  • Taille: 2,5 à 6 mètres
  • Poids: 100 à 500 kg
  • Durée de vie : 20 ans

Commençons par piétiner une idée reçue venue d’un onlinisme : le sleen n’est pas du tout un reptile ! Il est beaucoup plus proche des mammifères, bien qu’il soit clairement exotique. Le sleen, a un corps fuselé serpentiforme, comme un furet ou une belette, et une tête triangulaire à petites oreilles à pavillons mobiles, qui peut encore faire penser à un mustélidé. Il partage d’ailleurs un point commun avec la famille des mustélidés : le sleen pue ! Son odeur est très forte et très musquée, comme celle du furet ou du blaireau. Par contre, sa double rangée de dents est aussi exotique que ses six courtes pattes le long de son corps fin, couvert de poils denses, et ses six doigts griffus.

Le sleen est un prédateur nocturne à l’état sauvage, et il compte une dizaine de sous-espèces ; c’est clairement le prédateur le plus commun du monde de Gor, à l’exception des jungles de Schendi. Le sleen domestique, c’est le chien de Gor. La comparaison est parfaite, car un sleen rends presque les mêmes services que le chien, et le sleen peut être dressé comme un chien. Mais un chien géant et caractériel, qui peut aisément creuser le bois d’une porte en quelques instants ou faire un saut sans élan à plus de trois mètres de haut.

Le sleen domestique est cependant bien moins sanguinaire que sa réputation le laisse entendre. Ce n’est pas qu’un animal de chasse et de traque ; il peut garder des troupeaux d’animaux, servir de chien de garde, ou de chiens renifleurs pour lutter contre la contrebande, etc. Mais cela reste quand même une grosse bête puissante, qu’on ne peut pas changer en toutou de compagnie docile.

Tarn

  • Rareté: très commun
  • Répartition: tout Gor, sauf les régions polaires et subarctiques (pas de tarn chez les torvis !)
  • Régime alimentaire: carnivore
  • Taille: 4 à 7 mètres (envergure de 12 à 18 mètres environ)
  • Poids: 160 à 350 kg
  • Durée de vie : 30 ans

Le tarn, c’est la monture volante de Gor, et d’ailleurs, il est relativement rare à l’état sauvage. Il n’y a qu’une poignée de sous-espèces, mais beaucoup de variétés domestiquées. Le tarn est un oiseau géant, aux allures de faucon, avec une tête ornée d’une crête de plumes. La couleur la plus commune est le brun-vert, mais il en existe des bruns-rouge, des noirs, des blancs, et même certains chamarrés et multicolores. Le tarn est un prédateur diurne, qui chasse en piqué comme un rapace. Il ne supporte pas du tout les climats trop froids. Dernier point, un tarn ne sait pas bien s’envoler depuis le sol ; à l’état sauvage, il s’envole depuis un point élevé (arbre, pic, falaise).

Le tarn domestique, c’est un peu la monture volante idéale des goréens, et elle est très prisée, et très employée, et, je vais encore casser une idée reçue, non, il n’y a pas que les tarnsmens de la caste des guerriers à les monter. Les guerriers tarnsmens sont une unité de cavalerie aérienne d’élite, c’est tout. Car le tarn est aussi employé pour le transport de marchandises, le transport de personnes, ou encore pour le sport, avec des courses aériennes réputées – et une variété de tarns très petits, rapides et légers. Les éleveurs et gardiens de tarns forment d’ailleurs un basse-caste à part entière.

Et je vais encore casser un onlinisme (oui, j’adore ça !) : non, les tarns ne tuent pas systématiquement tout femme tentant de les monter. Ils tuent toute personne, mâle ou femelle, qui n’est pas assez forte, patiente, opiniâtre, attentive et sûr d’elle pour les dominer ! c’est même le test que passe tout tarnsman : on ne lui apprend pas à monter, il reçoit quelques conseils pour approcher son tarn de guerre, et il tente de monter dessus et le piloter. Et si le tarn ne l’aime pas, adieu le tarsnman, et au suivant ! Pensez aux montures volantes du film Avatar de James Cameron, c’est vraiment ça. Sauf que les tarns de guerre sont plus vicieux et que la seule chose qui les force vraiment à obéir, c’est la peur du tarn goad, qu’ils ont tous appris depuis qu’ils sont oisillons. Cela dit, on ne laisse pas une femme monter un tarn, par tradition sexiste ; hé ouais, on est sur Gor. Mais une femme pourrait très bien y parvenir… et s’attirerait tellement de problèmes que cela ne vaut pas le coup !

Un tarn de transport peut soulever environ 400 à 500 kg et voler sans pause sur de longues distances. Et les tarns n’ont pas du tout peur de voler au-dessus des mers. C’est juste qu’il leur faut un endroit où atterrir, donc, voler au-dessus de la mer sans être sûr de son trajet et de ses haltes est risqué. Il n’y a pas réellement d’indications sur le trajet qu’un tarn peut faire en une journée, mais je pense, en comparant avec d’autres grands rapaces terriens, qu’il peut parcourir une distance d’environ 600 à 800 km sans pause (530 à 710 pasangs ou 370 à 500 miles)

Tarsk

  • Rareté: très commun
  • Répartition: tout Gor, sauf les régions polaires et subarctiques
  • Régime alimentaire:
  • Taille: 60 cm à 1,4 mètre au garrot
  • Poids: 60 à 180 kg
  • Durée de vie : 30 ans

Le tarsk, c’est le sanglier de Gor, mais aussi son cochon domestique. L’animal est très répandu, et son monde de vie semble tout à fait similaire à celui du sanglier, avec des sous-espèces nombreuses, plus ou moins petites ou grandes. C’est un omnivore fouisseur qui mange fruits, graines, plantes, champignons, insectes et un peu tout ce qui passe par son groin, charognes y compris.

Le tarsk ressemble clairement à un croisement entre un sanglier et un phacochère, avec six puissantes défenses et une longue crinière hérissée sur tout le dos. Le tarsk sauvage est plus gros que le tarsk domestique, et peut dépasser le mètre au garrot. Les goréens apprécient de le chasser, mais vu sa puissance, il faut des lances et des épieux de chasse pour le tuer, et ce n’est pas sans risque ; il peut très bien éventrer un sleen de chasse.

Le tarsk domestique est élevé en enclos, pour sa viande, très prisée, car elle est grasse et facile à saler et fumer, et permets de faire plein de charcuteries et de salaisons. Dans le tarsk, comme dans le cochon, tout est bon !

Tharlarion de monte

  • Rareté: commun
  • Répartition: tout Gor, sauf les régions polaires et subarctiques
  • Régime alimentaire: carnivore
  • Taille: 2, 5 à 3 mètres de haut
  • Poids:  250 à 400 kg
  • Durée de vie : 30 ans

La tharlarion est un nom générique qui décrit deux espèces de reptiles goréens, soit bipèdes, soit quadrupèdes, carnivores ou herbivores, avec des sous-espèces selon les milieux. Nous allons nous intéresser au haut-tharlarion, le tharlarion de monte qui remplace le cheval comme monture sur Gor.

Pour le décrire, le plus facile est d’imaginer le vélociraptor du film Jurassic Parc, donc un reptile écailleux à sang chaud, sans poils ou plumes, mais avec de petits bras peu utiles. Le haut-tharlarion est caractériel (comme presque tous les animaux de monte ou de trait sur Gor!) et parfois rebelle. Un cavalier a souvent une cravache pour frapper sa monture aux yeux ou aux oreille pour la faire obéir, car le tharlarion est plus ou moins insensible à la douleur ailleurs qu’à ces endroits.

Le tharlarion de monte n’est pas très rapide, mais il est solide et rustique, si on excepte qu’il mange de la viande, ce qui le rend peu utile en voyage, car gérer sa nourriture est compliqué. Sur un champ de bataille, par contre, autant dire que c’est un allié terrifiant pour l’ennemi !

Monter un tharlarion de monte n’est pas facile, et il est assez inconfortable dès qu’il court, car il se propulse en grands sauts. Il faut des selles adaptées, rembourrées et dotés de lanières de sécurité.

Tharlarion de trait

  • Rareté: très commun
  • Répartition: tout Gor, sauf les régions polaires et subarctiques
  • Régime alimentaire: herbivore
  • Taille: 5 à 8 mètres de long
  • Poids:  400 à 600 kg
  • Durée de vie : 50 ans

Donc, on disait bien qu’il y a deux espèces de tharlarion, et la seconde a été elle aussi domestiquée. Il s’agit d’un gros reptile quadrupède, à sang chaud, aux allures d’iguane herbivore, avec un corps épais et des pattes courtes. Il apprécie l’eau, et il existe même des variétés de mer. Lent, placide, un peu lymphatique, sa taille et sa puissance en font un excellent animal pour tirer des chariots, ou faire du halage le long des fleuves. Il peut même servir de monture pour de longs trajets, car il est rustique et facile à nourrir ; il se contente des herbes et feuilles qu’il peut trouver.

Verr

  • Rareté: commun
  • Répartition: tout Gor
  • Régime alimentaire: herbivore
  • Taille: 40 cm à 1 mètre au garrot
  • Poids:  25 à 120 kg
  • Durée de vie : 15 ans

Animal originaire de la Terre, le verr n’est pas du tout un mouton, mais une chèvre montagnarde à longs poils, qu’on trouve à l’état sauvage dans les montagnes du Voltai. Il est cependant domestiqué partout, et on l’élève pour son lait, sa laine, et sa viande.

Vulo

  • Rareté: très commun
  • Répartition: tout Gor
  • Régime alimentaire: herbivore
  • Taille: 20 à 40 cm
  • Poids: 200 à 500 gr
  • Durée de vie : 10 ans

Le vulo, c’est un pigeon, et pas du tout une poule. Les goréens ont donc des pigeonniers plutôt que des poulaillers. Il vit aussi à l’état sauvage. Le vulo est élevé pour ses œufs et sa viande, mais il existe aussi une sous-espèce de vulos voyageurs, plus petit que le vulo domestique, employés pour transmettre des messages d’un lieu à un autre.

Read Offline:

One thought on “Les animaux d’élevage et de compagnie

Leave a Reply